Du 21 au 27 novembre, la France participera aux Championnats du monde Street et Park 2025 à Sakai, dans la préfecture d’Ibaraki (Japon). Une première pour la discipline au Japon et une occasion pour les riders tricolores de confirmer leur statut après une moisson historique aux derniers championnats d’Europe.
L’équipe de France décolle vers Sakai (Japon) avec une dynamique que peu de nations peuvent revendiquer. En septembre dernier, lors des championnats d’Europe, les Tricolores avaient frappé fort : neuf médailles sur 18 possibles, dont trois titres et plusieurs podiums entièrement français en Street. Ce bilan a dessiné les contours d’une équipe en pleine ascension, capable de performer dans toutes les catégories. Cette fois encore, pour les Championnats du monde Street et Park 2025, la délégation présentée par la Fédération s’appuie sur un mélange d’expérience et de jeunesse, de créativité et de maîtrise technique.
Chez les seniors, Lucas Di Meglio, Jonathan Perroni, Arthur Frugier, Hugo Strauss et Alexandre Bailly défendront les couleurs françaises en Street. Côté Park, Esteban Clot et Timon Pharabod seront les représentants tricolores. La sélection féminine s’appuie sur deux valeurs sûres : Romane Gilliet et Joséphine Zgorski, autrices d’un incroyable doublé or-argent lors de l’Euro. La relève sera également à l’œuvre : Jules Boi Frieh et Luka Noel en Junior Street, Gaétan Lhullier en Junior Park. Une génération qui, en Europe, a déjà prouvé qu’elle faisait partie des meilleures.
Des résultats européens qui donnent confiance
Les championnats d’Europe ont été le théâtre d’une domination rarement vue. En Street, les Français avaient littéralement monopolisé les podiums :
- Podium Junior Street 100% français : Luka Noel, Jules Boi Frieh et Nino Laizin Moreau avaient signé un triplé historique.
- Podium Senior Street également 100% tricolore : Jonathan Perroni, Arthur Frugier et Antoine Hervet avaient offert une image forte du niveau français.
- Chez les femmes, même dynamique : Joséphine Zgorski en or et Romane Gilliet en argent, confirmant la puissance du collectif féminin.
En Park, Gaétan Lhullier avait décroché l’argent chez les juniors, complétant une statistique impressionnante. À Sakai, cette confiance collective devra trouver un prolongement face aux meilleures nations mondiales, dans un environnement nouveau et une ambiance promise comme électrique.
















