Le dimanche 15 septembre, l’association Légende Rallye Pignan organise la deuxième édition du Rassemblement Renault Sport. Un événement très attendu, comme l’explique Ludovic Fages, en charge de l’organisation.
Le Rassemblement Renault Sport s’apprête à vivre sa deuxième édition, qu’est-ce qui vous a poussé à renouveler l’événement ?
La première édition, je l’avais lancé sur un coup de tête. Je suis un fan de Renault, j’ai flashé sur la marque. J’avais déjà organisé des rassemblements, donc je me suis dit « pourquoi pas ? ». Sur la première édition, il y avait 90 voitures inscrites, et finalement, on était 190. Ça a été un vrai succès, les gens étaient contents et avaient envie d’une deuxième édition, il fallait donc que je tienne ma promesse de remettre ça.
Quel est le programme de cette deuxième édition ?
Dès 9h, le rendez-vous est fixé au Château de Pignan. On offre le café et les madeleines. Puis, de 11h à 12h, on fait une démonstration de voitures téléguidées, essences et électriques. Ensuite, il y a un repas de 12h à 14h. Dès 15h, il y a une remise des prix avec des remerciements, avant une démonstration de voitures, qui va nous amener sur la fin de l’événement à 18h.
Va-t-on retrouver plus de voitures cette année ?
Il y a beaucoup plus de voitures, en effet. Il y aura notamment plus de voitures mythiques et assez spéciales, avec de nombreuses éditions limitées. Une bonne partie des modèles Renault Sport seront présents. Nous avons aussi plusieurs stands de voitures miniatures qui seront présents, les gens pourront découvrir de nombreux modèles.
Une troisième édition est-elle déjà dans les cartons ? Comment continuer à développer l’événement ?
L’année prochaine, on aimerait organiser une balade en même temps que le rassemblement, ce serait la suite logique. Les participants étaient très heureux lors de la première édition, beaucoup de personnes sont venues me voir directement pour me remercier. Sur les réseaux sociaux, il y a eu de nombreux partages de messages et de photos autour de l’événement, ça montre qu’il y a un engouement. On a donc envie que cette journée puisse continuer à exister.