Entre coups de chaud, départs canon et premiers trophées, on fait le point sur cette première journée du Mondial La Marseillaise 2025.
Ce dimanche 6 juillet, le Mondial La Marseillaise est officiellement lancé. Une édition 2025 record, avec 4784 triplettes participantes cette année. Après trois parties, la plupart des favoris est encore en lice, à l’issue d’une journée qui a commencé dans la canicule et s’est terminé sous la pluie. Au Parc Borély, les premiers trophées ont également été décernés.
Peyrot sacré, les minots aussi
En finale du Grand Prix Féminin Paprec, la dramaturgie a pris le dessus ! Menées 8-0 puis 10-3, la triplette de Cindy Peyrot, Sandrine Poinsot et Maëlle Bertrand renverse tout (13-12) et soulève le trophée, face à Charlotte Darodes, Florence Schopp et Aurélie Bories. Une finale à suspens !
Chez les cadets, la Marseillaise revient à Loni Szczotkowski, Milan Terryn et Fabio Marco, les jeunes représentants de la Boule Aixoise. Côté juniors Tylan Kapfer, Gianni Seignouret et Enzo Cortes s’adjuge la finale du Trophée Crédit Mutuel Mondial des jeunes. Les benjamins et minimes devront attendre lundi midi pour disputer leur finale, déplacée en raison de la pluie.
Les favoris démarrent bien
Côté cadors, tout se passe comme prévu… ou presque ! Le double vainqueur et finaliste en titre Tyson Molinas a eu chaud, avec son père Fernand et son oncle sextuple vainqueur Vigo Dubois. D’entrée de jeu, face à la Monégasque Laura Vierjon, le trio familial est passé près de la correctionnelle ! (13-12). Foyot aussi a attaqué fort, face au reconnu Philippe Roux, multiple champion de France de jeu provençal (13-8).
Molinas et Foyot ont ensuite avancé tranquillement, tout comme les tenants du titre Quintais-Suchaud-Jouffre. Les trios stars comme Rocher-Bonetto-Robineau, Maurel-Baudino-Delahaye ou encore Riviera-Doerr-Hatchadourian ont passé une journée tranquille infligeant des fanny et score-fleuves. La première surprise, c’est l’élimination de Durk-Cortes-Bacchin, tous finalistes du concours. Puccinelli, Messonnier, ou encore Gayraud n’ont pas tremblé.
