En fonction depuis 2021, Alain Carrière a démissionné de son poste de président de la Fédération française de la montagne et de l’escalade (FFME). Il assumera ses responsabilités jusqu’aux Jeux olympiques 2026.
Alain Carrière dit stop. Après dix-huit années d’engagement au sein de la gouvernance fédérale, dont cinq années à la présidence, le président de la Fédération française de la montagne et de l’escalade a fait le choix de transmettre le relais. Il souhaite désormais se consacrer davantage à des projets personnels, à une pratique plus assidue de la montagne et de l’escalade, ainsi qu’à de nouveaux horizons de vie.
« La FFME entre dans une nouvelle phase structurante et ambitieuse. Nous disposons d’un plan stratégique solide, d’une équipe de direction renouvelée et d’un collectif d’élus expérimentés. C’est précisément parce que cette nouvelle étape s’ouvre qu’il m’apparaît naturel d’organiser ce passage de relais, afin que cette dynamique soit portée avec une pleine disponibilité », explique Alain Carrière.
Un successeur connu prochainement
Alain Carrière restera tout de même administrateur afin d’accompagner la continuité des travaux engagés. Il continuera d’assumer ses responsabilités jusqu’à l’issue des Jeux olympiques de Milan-Cortina, en février 2026. Conformément aux statuts, le Conseil d’administration de la FFME se réunira prochainement afin de soumettre à l’Assemblée générale élective le nom d’un de ses membres pour occuper la présidence à compter de la fin de son mandat.
« Sous sa présidence, la FFME a poursuivi sa progression et consolidé son positionnement de fédération tri-olympique, à la croisée du haut niveau, de la pratique loisir, de l’escalade indoor en forte croissance et des activités de montagne », souligne la FFME dans un communiqué. « La fédération réaffirme sa volonté de poursuivre, dans la continuité, la mise en œuvre de son plan stratégique et de renforcer encore son rôle de fédération de référence dans l’escalade et les activités de montagne. »

























