En cadets et en juniors, la Marseillaise revient aux jeunes du cru, très applaudis par le public malgré la pluie en fin de journée.
Les minots marseillais à la fête ! Ce dimanche 6 juillet marque le coup d’envoi du Mondial La Marseillaise pour les grands. Pour les jeunes, place aux finales ! Après avoir bataillé dans les allées du Parc Borély, les petits font leur entrée dans le carré d’honneur. Les finales du Trophée Crédit Mutuel Mondial des jeunes ont animé la fin de journée, alors que la pluie s’est invitée à Marseille…
Les sudistes en réussite
Favoris de cette édition 2025 chez les juniors (15-17 ans), ils sont allés au bout ! Tylan Kapfer, Gianni Seignouret et Enzo Cortes remportent la Marseillaise, sur leurs terres. En finale, il n’y a pas eu photo (13-3), pour un cavalier seul vers le titre. Très beau parcours tout de même pour Benjamin Lenoir, Nelson Da Silva Caldeireiro et Leny Gigovic. Au total, 60 triplettes étaient en lice dans la catégorie juniors. Si cette finale s’est jouée sous la chaleur et un soleil de plomb, ce n’est pas le cas de celle des cadets…
Le trophée pour la Boule Aixoise
Dans la foulée des juniors, les cadets (12-14 ans) ont démarré leur finale sous le soleil… pour la terminer sous la pluie ! C’est dans ces conditions dantesques que se sont imposées Loni Szczotkowski, Milan Terryn et Fabio Marco, les jeunes représentants de la Boule Aixoise. Les minots étaient très soutenus en tribunes, face à une équipe de la Pétanque Romanaise qui leur aura mené la vie dure.
La triplette de Shanon Garin, entourée de Quentin Aymard et Maël Faure, a failli signer une formidable remontada. Menés 11-5, les jeunes joueurs de Romans-sur-Isère recollent (12-10), avec quatre sorties du but, dont deux volontaires ! Un final de folie, alors que le tempête se lève dans le parc… Très encouragé par les tribunes du Parc Borély, Loni Szczotkowski ne laisse pas s’envoler la victoire et claque la frappe de la gagne. Le deuxième sacre à Marseille chez les jeunes pour lui.
Côté finale des benjamins-minimes, la pluie a obligé l’organisation à la déplacer au lendemain.