Alors que la France a décroché un total de 15 médailles lors des Jeux de la Francophonie, la lutte a fait partie des disciplines les plus performantes. De bon augure à un an des Jeux olympiques.
Certes, ce ne sont que les Jeux de la Francophonie. Mais, à un an de Paris 2024, la lutte tricolore s’est pris aux Jeux. Un événement lors duquel la France a décroché quinze médailles… et a pu compter sur la discipline, qui a réalisé une excellente moisson.
Comme souvent, la lutte féminine a été le moteur pour les Tricolores. A l’image d’Emma Luttenauer, très attendue, et qui ne cachait pas ses envies de médaille d’or. La jeune française a assumé, s’imposant une fois par grande supériorité puis deux fois par tombé dans un parcours sans faute.
La lutte libre fait carton plein
De l’or pour elle en -53kg, et de l’argent pour Lilya Cohen en -50kg. Souveraine en quart et en demi-finale, elle n’a rien pu faire en finale face à sa rivale roumaine. Toujours chez les féminines, la France repart de Kinshasa avec le bronze pour Amel Rebiha en -59kg.
Côté lutte libre, l’équipe de France a su se rassurer. C’est bien simple : les trois concurrents engagés sont montés sur le podium. Honneur à Marwane Yezza, vainqueur d’une finale à suspense contre l’Arménien Hrachya Margaryan. Quant à Mohamed Sangariev (-70kg) et Mokhmad Khounkaev (-97kg), ils repartent de ces Jeux de la Francophonie avec l’argent.
Avec un total de six médailles, la lutte a décroché plus d’un tiers des breloques de la France dans ces Jeux. Un bilan forcément extrêmement positif pour une discipline et des athlètes tricolores qui ne vont pas manquer de rendez-vous de choix dans les semaines et mois à venir. Avec Paris 2024 en juge de paix.
