Deux éditions après une finale en tir de précision, Pontarlier revient au Trophée des Villes de pétanque sûr de ses forces.
En 2025, Pontarlier opte pour la solution offensive. Lors du prochain Trophée des Villes, l’équipe venue du Doubs fera, une nouvelle fois, la part belle aux tireurs. À défaut de figurer parmi les grands favoris de cette édition 2025, Pontarlier est, en revanche, l’une des formations qui pourrait assurer le plus le spectacle du 4 au 7 décembre, à Nice.
Lucas Bulliard, du titre européen au Trophée des Villes
Finaliste du concours de tir de précision il y a deux éditions, Benjamin Tatu sera à nouveau l’homme de base de ce collectif. À 34 ans, le joueur du Pétanque Club Le Russey ne cesse de prendre de l’épaisseur, saison après saison. Qualifié pour le championnat de France tête-à-tête en 2025, il peut compter sur son expérience du Trophée des Villes pour briller dans cette compétition.
En revanche, Benjamin Tatu ne sera pas le représentant de Pontarlier lors du concours de tir de précision. Le joueur du Doubs laisse sa place à un autre spécialiste du tir : Lucas Bulliard. Champion d’Europe chez les Espoirs en octobre dernier, le joueur de 21 ans sera l’une des attractions de cette équipe de Pontarlier. Lui aussi licencié au Pétanque Club Le Russey, il sera l’une des jeunes pépites à suivre de près à Nice.
Pour Gaëtan Blaszczak, les retrouvailles avec Dylan Rocher ?
Partenaire régulier de Benjamin Tatu à Russey, Janick Frachebois sera logiquement de la partie lors de ce Trophée des Villes. A 71 ans, il sera d’ailleurs l’un des concurrents les plus âgés engagés à l’occasion de cette édition 2025. Une expérience particulièrement importante pour Pontarlier au moment d’affronter des équipes sensiblement de même niveau.
Un collectif doubiste complété par Gaëtan Blaszczak. En 2008, ce dernier devenait champion d’Europe U18 aux côtés de Dylan Rocher. 17 ans plus tard, les deux hommes pourraient se retrouver à l’occasion du Trophée des Villes. Pourquoi pas lors d’une finale face à Fréjus, pour laquelle Pontarlier signerait sans doute des deux mains.
























