Audrey Bandiera, Nelly Peyré, Charlotte Darodes et Torea Tairio forment l’équipe de France 1 lors des Mondiaux féminins de pétanque, du 9 au 12 octobre.
Du côté de Sin-le-Noble, il faudra avoir les yeux un peu partout à l’heure de suivre les performances des Bleues. En effet, la France se présente aux championnats du monde féminins avec deux formations. La première, la plus étoffée en termes de palmarès, est composée d’Audrey Bandiera, Nelly Peyré, Charlotte Darodes et Torea Tairio.
Nelly Peyré, danger numéro 1 pour la Thaïlande ?
Double vice-championne du monde en doublette mixte aux côtés de Dylan Rocher, Audrey Bandiera se relance dans la quête d’un titre mondial, plusieurs semaines après Rome. En Italie, la joueuse de 31 ans avait affiché un excellent niveau de jeu. Sur un terrain bien plus propice au point dans le Nord, la quadruple championne d’Europe et de France sera un atout précieux dans le parcours de cette équipe de France 1.
Double vice-championne du monde à Rome, battue en finale de l’individuel et de la doublette, Nelly Peyré est la joueuse à avoir mis le plus en difficulté les Thaïlandaises en Italie. Près d’un mois plus tard, la joueuse de l’Amicale Bouliste Bormes sera particulièrement attendue, elle qui ne prendra pas part au concours de tir de précision afin de se focaliser pleinement sur la triplette avec les Bleues.
Charlotte Darodes, 2025 après 2017 ?
Au poste de milieu, Charlotte Darodes vient compléter cette triplette. La joueuse de 33 ans ne sort pas de la meilleure saison de sa carrière. Mais son vécu international demeure incontournable, elle qui était devenue championne du monde triplette en 2017. Toujours redoutable dans les grands rendez-vous, Charlotte Darodes occupera un rôle clé au cœur de cette triplette pour espérer venir mettre à mal la Thaïlande dans le Nord.
Partenaire de Charlotte Darodes au sein du club de La Boule Moulietsoise, Torea Tairio sera la quatrième joueuse de cette équipe de France 1. La tireuse de 35 ans devrait disputer plusieurs rencontres lors de la phase de qualifications, puis s’asseoir, sauf surprise, sur le banc lors du début des parties à élimination directe.