Menée entre juillet et septembre 2025 auprès de 13 000 répondants, l’enquête nationale de France Judo confirme le rôle du judo comme levier d’éducation, de cohésion sociale et d’inclusion. Plus qu’un sport, la discipline s’impose comme une véritable école de vie, porteuse de valeurs et de transformation personnelle.
Entre le 10 juillet et le 10 septembre 2025, France Judo a mené une vaste enquête nationale auprès de 13 000 répondants (licenciés, parents et enseignants). Les résultats sont sans appel : le judo reste un levier puissant d’éducation, de cohésion sociale et d’engagement citoyen. Plus qu’une discipline sportive, il continue de s’imposer comme une véritable école de vie où se forgent confiance, respect et solidarité.
Le judo, un choix de cœur et de valeurs
Dès le plus jeune âge, le judo s’impose comme une activité structurante. La majorité des pratiquants commencent entre 4 et 6 ans, souvent à l’initiative des parents (72% des cas). Mais la passion naît vite : à partir de 7 ans, près d’un enfant sur trois choisit lui-même le judo, preuve d’une discipline qui séduit autant qu’elle éduque. Pour de nombreuses familles, le dojo n’est pas qu’un lieu d’apprentissage sportif : c’est un espace où l’on grandit. Les valeurs de respect, de courage et de maîtrise de soi y prennent racine. 87% des licenciés affirment avoir gagné en confiance, 82% disent mieux gérer leurs émotions, et 74% estiment que le judo renforce leur sens des responsabilités.
Le Code moral, pilier d’une éducation complète
Huit valeurs guident chaque judoka : politesse, courage, sincérité, contrôle de soi, amitié, modestie, respect et honneur. Des mots qui dépassent largement les frontières du dojo. Neuf parents sur dix constatent que leurs enfants appliquent ces principes dans la vie quotidienne. À l’heure où l’école et les familles cherchent des repères éducatifs durables, le judo apparaît comme un allié naturel de la formation citoyenne.
Un sport d’inclusion, de santé et de cohésion
Au-delà du geste technique, le judo crée du lien. Plus d’un pratiquant sur deux estime que le judo améliore son bien-être psychologique, et beaucoup considèrent leur club comme une « seconde famille« . Dans les territoires, les dojos deviennent des lieux d’accueil, d’échange et de solidarité.
Tous les résultats sont disponible sur le site de France Judo.
 
			 
					



































