Show devant : les Harlem Globetrotters font escale à Limoges

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Ce mardi 18 avril, le palais des sports de Beaublanc reçoit les Harlem Globetrotters. Un show à la sauce américaine idéalement programmé, 30 ans après le titre européen du Limoges CSP. 

Si les supporters du Limoges CSP se remémorent la victoire, datant de 30 ans, en finale du Final Four de la Coupe d’Europe des clubs champions, ils peuvent également tenter de se souvenir du dernier passage des Harlem Globetrotters dans la capitale de la Haute-Vienne. Cet événement international se produira au palais des sports de Beaublanc ce mardi 18 avril, 6 ans après son dernier passage.

En tournée dans l’Hexagone, les Harlem Globetrotters produisent des matchs d’exhibition aux allures de show à l’américaine. “C’est multigénérationnel, très théâtral, avec des anciens joueurs universitaires américains qui ont le niveau des joueurs étrangers évoluant en Betclic Elite”, présente Georges Eddy, l’ambassadeur des Harlem au Populaire du Centre. Cette année, une ligne à quatre points a été créée pour pimenter l’événement. “C’est un match spectaculaire, avec de la musique moderne, des joueurs au niveau athlétique et au dynamisme impressionnants”, ajoute-t-il.

“Dès qu’on parle basket, on parle de Limoges”

Que les Harlem Globetrotters reviennent à Limoges, 6 ans après leur dernière apparition, était une obligation. “Limoges est une date à encercler sur le calendrier. C’est une salle mythique”, appuie l’ambassadeur. Même si le club limougeaud vit des saisons moins victorieuses que les précédentes, il n’en reste pas moins celui qui aura apporté le premier titre européen dans l’histoire du sport collectif français. C’était en 1993. “Limoges est un peu redescendu dans la hiérarchie, en France et en Europe, mais ils continuent d’exister et de rester à part. Dès qu’on parle basket, on parle de Limoges”, souligne Georges Eddy. Toujours la tête dans les fêtes des 30 ans de ce sacre à l’échelle européenne, le Limoges CSP laisse son enceinte aux Harlem, demain soir. Avec l’objectif de poursuivre les festivités, d’inscrire non pas des points, mais des souvenirs.