Bien vivre avec le diabète au cœur de la SOP 2021

Après le succès de l’édition 2020 de la Semaine olympique et paralympique, où plus de 1 200 scolaires franciliens avaient été accueillis, le Centre de Ressources, d’Expertise et de Performance Sportive Île-de- France (CREPS IDF) organise, du 1er au 5 février, l’édition 2021 de la SOP.

Le relais de la SOP sera organisé sur des sites mythiques du sport français (Stade de France, Stade Olympique Yves du Manoir, Vélodrome National, Golf National, Base Nautique Olympique de Vaires-sur-Marne, …). Pour cette édition, l’établissement s’associe avec ses partenaires institutionnels habituels : le Ministère de l’Éducation National, de la Jeunesse et des Sports, l’Académie de Versailles, la Région Île-de-France, 5 Conseils Départementaux franciliens (77, 78, 92, 93 et 95), le Comité National Olympique et Sportif Français, le Comité Régional Olympique Île-de-France et la Ville de Châtenay-Malabry. Des partenaires privés apportent également leur soutien : Énergie de France, la MAIF, le Groupe Compass, Eurocom Pub, Mariette, Groupe Pasteur Mutualité et Progalva.
 

 
Le COJO ayant retenu le Sport-Santé comme thème de la SOP 2021, le CREPS Île-de-France s’est engagé à soutenir et mettre en lumière la cause du bien vivre avec le diabète. Dans ce sens, lors du relais de la SOP, des activités et des initiations seront proposées aux scolaires franciliens (écoliers, collégiens et lycéens) qui pourront découvrir les bonnes pratiques et le sport lorsqu’on est une personne atteinte de diabète de type 1. Deux diabétiques de type 1, seront la marraine et le parrain de cet événement : Alizée Agier et Hakaora Vallée. Alizée est une karatéka, championne du Monde et d’Europe, qui rêvait d’intégrer la police nationale en parallèle de sa carrière, mais qui a découvert que les réglementations d’accès ne lui permettaient pas d’exercer cette profession. Hakaora est un lycéen de 16 ans. A 14 ans, il a plaidé devant des députés, une évolution de la loi qui interdit aux malades certains métiers. En 2015, il s’est lancé le défi fou de courir 2000km, pour prouver que l’on peut faire du sport et être en pleine forme malgré la maladie.

Olivier Navarranne