Biarritz, berceau du surf et des France

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La 59e édition des championnats de France de surf se tiendra pour la 11e fois à Biarritz du 28 octobre au 5 novembre. 38 titres nationaux seront décernés à la Grande Plage. 

C’est l’un des plus grands rendez-vous surf en France. Cette année, les championnats nationaux s’annoncent historiques : 560 surfeurs vont prendre part à la 59e édition du 28 octobre au 5 novembre à Biarritz. C’est tout simplement un record de participation. 38 titres seront décernés à l’issue de ces 8 jours de compétition dans 9 disciplines.

Qualifiés au regard du classement national et des quotas délivrés pour les ligues et comités, les participants défendront leurs couleurs, celles de leurs clubs et de leurs ligues régionales. Ces compétiteurs sont issus de la Nouvelle-Aquitaine, les Pays de Loire, la Bretagne, la Normandie, l’Occitanie, la région Paca, La Réunion, la Martinique, la Guadeloupe et la Nouvelle-Calédonie. “Avec le longboard, le bodyboard, le bodysurf, le stand up paddle, le skimboard, le kneeboard, le tandem, le para surf et le para surf adapté, la Fédération démontre la richesse de son activité, la diversification, le talent de ses pratiquants et de ses pratiquantes”, indique Jacques Lajuncomme, le président de la Fédération Française de Surf

Biarritz et le surf, une histoire qui perdure

Comme l’an passé, les France se dérouleront sur la Grande Plage de Biarritz. Ville qui accueille la compétition pour la 11e fois de leur histoire (1967, 1971, 1974, 1984, 2007, 2010, 2011, 2015, 2016, 2022, 2023). Un choix qui n’a pas été fait au hasard. “C’est à Biarritz que l’on a assisté à l’apparition du surf en 1957, à la création des premiers clubs français, à la fondation de la Fédération Française en 1964, à plusieurs championnats de France, d’Europe et du monde. On se souvient notamment des ISA World Surfing Games 2017 remportés par l’équipe de France, des ISA World Longboard Championships 2019 sur le site iconique de la Côte des Basques, rappelle la FFS. Sur les différents spots de la ville basque, la discipline est omniprésente. Elle le sera d’autant plus durant ces 8 jours de compétition.