Un grand pas pour la Conférence Régionale du Sport Occitanie

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La Conférence Régionale du Sport Occitanie a mis en place la conférence des financeurs, étape importante et nécessaire afin de construire une stratégie régionale.

Une étape de plus pour la Conférence Régionale du Sport Occitanie. Il y a quelques semaines, elle mettait en place son Projet Sportif Territorial. Désormais, l’organisme qui regroupe le mouvement sportif, le monde économique, les collectivités et l’Etat a installé sa conférence des financeurs. C’est vendredi, du côté de Gruissan, que la CRdS Occitanie a avancé sur ce sujet. Un pas de plus pour permettre à l’organisme « de fédérer tous les acteurs du monde sportif pour construire une stratégie régionale commune, essentiellement pour développer la concertation autour des activités sportives », comme l’explique Kamel Chibli, président de la CRdS Occitanie et vice-président de la Région.

« La conférence des financeurs est un espace de partage permettant à l’ensemble des acteurs de l’État, des collectivités territoriales, du mouvement sportif et du monde économique. Elle permet de trouver des complémentarités entre leurs actions, d’élaborer une stratégie financière, de prendre les décisions futures en proposant par exemple des avis motivés sur les projets expertisés », poursuit Kamel Chibli.

Cinq commissions présentes en Occitanie

La Conférence Régionale du Sport Occitanie va ainsi pouvoir avancer afin de soutenir et développer des projets autour de différentes thématiques. Des sujets forts, défendus par les cinq commissions de la CRdS baptisées « Équipements sportifs, outils structurants », « Filière du sport au service de l’attractivité », « Emploi, formation, enjeu de demain », « Engagement, développement de la pratique sportive, sport et bien-être » et « Occitanie, terre de performance ».

« Le sport doit être le moteur d’une dynamique de développement territorial en profitant des grands événements sportifs qui arrivent à grand pas avec la Coupe du Monde de rugby et les Jeux olympiques et paralympiques », conclut Kamel Chibli.