Paris 2024 : Poitiers prêt pour le rendez-vous

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Labellisé « Terre de Jeux 2024 », le Grand Poitiers dispose également d’équipements labellisés Centres de Préparation aux Jeux (CPJ).

Depuis déjà plus de deux ans, le Grand Poitiers est dans les starting-blocks direction Paris 2024. Labellisée « Terre de Jeux 2024 », la collectivité dispose des atouts nécessaires pour jouer un rôle à l’approche du rendez-vous planétaire organisé dans la capitale. Ainsi, depuis le 15 juillet 2021, plusieurs équipements de Grand Poitiers figurent au catalogue officiel des Centres de Préparation aux Jeux (CPJ). Ce catalogue est destiné aux 206 Comités Nationaux Olympiques et aux 182 Comités Nationaux Paralympiques.

La Communauté urbaine compte cinq équipements sportifs susceptibles d’accueillir des délégations sportives internationales pour les JOP 2024 : la salle omnisports Jean-Pierre Garnier, le stade Paul Rébeilleau, le Complexe sportif Michel Amand, la Salle Lawson Body et la Piscine de la Ganterie. A ces équipements s’ajoutent d’autres structures au sein du département de la Vienne telles que le CREPS de Poitiers ou encore l’Arena du Futuroscope. En vue de 2024, une dynamique territoriale est ainsi en marche.

Poitiers apte pour de nombreuses disciplines

Le Grand Poitiers pourrait prochainement accueillir de nombreuses délégations françaises et internationales dans ses différents équipements. Actuellement, la Communauté urbaine est labellisée CPJ pour onze disciplines olympiques (Football, Basket, Volley, Judo, Taekwondo, Escrime, Natation, Athlétisme, Triathlon, Cyclisme sur route et Basket 3×3) et huit disciplines paralympiques (Basket fauteuil, Natation paralympique, Athlétisme paralympique, Triathlon paralympique, Cyclisme sur route paralympique, judo paralympique, Rugby fauteuil et Escrime fauteuil).

Anita Blaze, vice-championne olympique en escrime, fait partie des athlètes qui ont d’ores et déjà visité les équipements du Grand Poitiers. « Lors des stages que nous effectuons en préparation de nos différentes compétitions, il faut que nous soyons dans notre bulle. Que tout ce qui n’a pas trait à nos entraînements ne soit pas une préoccupation », assure l’escrimeuse, dont le témoignage s’avère précieux pour le Grand Poitiers, afin de préparer cette échéance olympique et paralympique de la meilleure des façons.