Jeep Élite : Armand Mensah signe pro à Nanterre

Joueur formé au club, Armand Mensah a signé son premier contrat professionnel avec Nanterre 92. Il est prêté dans la foulée à Denain (Pro B).

 
Armand Mensah bénéficiait, pour la saison 2019-2020, d’une double licence lui permettant d’évoluer à la fois en Espoirs, en Jeep Elite mais également en NM1 avec le RAC Basket. Une saison qui lui aura permis de franchir un nouveau cap, en confirmant son rôle de leader durant les 7 matchs joués avec les Espoirs (13pts, 4rbds et 3.5pds de moyenne), tout en prenant de l’expérience face à des meneurs plus expérimentés en NM1, où il aura connu une exposition juste avant l’arrêt des championnats en mars avec plus de 13pts et 5pds de moyenne avec Rueil.
 

 
Connu pour ses qualités physiques, son sens du travail sans faille mais aussi une personnalité et des valeurs collant parfaitement à celles de Nanterre 92, Pascal Donnadieu et son staff ont fait le choix d’offrir à Armand Mensah son premier contrat professionnel avec Nanterre pour deux saisons, tout en lui permettant de prendre de l’expérience en Pro B, en l’envoyant du côté de Denain sous les ordres de Remy Valin, pour un prêt d’une saison.
 

 
« On est vraiment contents qu’Armand signe son premier contrat pro avec nous, c’est un peu l’accomplissement d’un long processus de formation avec lui », explique Pascal Donnadieu, le coach nanterrien, sur le site officiel du club. « On croit beaucoup en son potentiel et à son état d’esprit et c’est une vraie belle opportunité pour lui d’évoluer à Denain sous les ordres de Rémy Valin. Je suis très heureux de cette situation pour Armand, et j’ai hâte de voir son évolution ! Concernant Jean-Marc, c’est important de préciser qu’il est sous contrat avec Nanterre jusque juin 2021. Aujourd’hui, tout est envisageable, on se donne le temps de décider de la meilleure opportunité le concernant : évoluer avec Nanterre en Jeep Élite dès la saison prochaine ou éventuellement le prêter encore un an avec une option de contrat d’une saison supplémentaire avec Nanterre.  »
 

Olivier Navarranne