« WIN Sport School fournit un bon suivi »

Alors qu’il ne se destinait initialement à une autre voie, Florian Barbara s’est inscrit à l’école WIN Sport School de Nice. Il raconte sa première année en Bachelor 1.

 
 Comment avez-vous découvert WIN, école de management du sport ?
Par hasard ! Je me suis rendu sur un salon des étudiants à Nice et j’ai rencontré des représentants. Nous avons parlé de la filière sport, de leur Bachelor management de sport. La formation m’a directement plu car je pouvais faire des études dans le milieu du sport. Pourtant, j’ai eu un bac pro, accompagnement soins et services à la personne, rien à voir.
 
Comment se déroulent les cours ?
Nous sommes à l’école trois jours par semaine. Le lundi et le mardi, les cours sont liés à la communication et au management et le mercredi au sport, ma matière préférée. Cela me laisse du temps à côté pour travailler, pour être sapeur-pompier volontaire. Par ailleurs, l’école nous fournit un bon suivi, vraiment le top du top.
 

 
Qu’est-ce qui vous a le plus parlé à l’école WIN Sport ?
J’ai pris conscience qu’il y avait vraiment des difficultés liées à l’environnement du sport. Quand je regardais les matchs, les interviews, je pensais que tout était simple, mais il y a beaucoup de choses à savoir pour bien travailler dans ce milieu. Par exemple, un journaliste doit faire des démarches avant de rencontrer et interviewer un joueur.
 
Est-ce que le confinement a bousculé la fin de l’année scolaire ?
Nous avons fait nos partiels en visio mi-mai. J’ai réussi à trouver un stage avant le confinement et j’ai de la chance qu’il se maintienne, ce n’est pas le cas de tous. J’aurai la chance d’appliquer ce que j’ai vu en cours, être polyvalent et de me fermer à rien.
 

 
Avez-vous une idée précise du métier que vous voulez exercer ?
Pour l’instant, la suite est un peu floue. J’ai encore des choses à voir. Peut-être que mon stage va déjà m’ouvrir les yeux. Après le Bachelor, je voudrais entrer en MBA, je préfère aller jusqu’au bout de ce que WIN Sport School propose pour tout voir. Si j’arrête avant, je risque de le regretter.

Propos recueillis par Leslie Mucret