Volley : nouveaux visages, mais mêmes ambitions pour Chaumont

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Chaque jour, SPORTMAG fait le tour des forces en présence avant la reprise de la Marmara SpikeLigue. Cette saison, Chaumont repart avec une ambition inchangée : jouer les premiers rôles. Malgré un mercato agité et de nombreux départs, le CVB 52 s’appuie sur la stabilité de son staff et un recrutement ambitieux pour continuer à tutoyer les sommets du volley français.

La Marmara SpikeLigue redémarre et Chaumont entend bien frapper fort d’entrée. Deuxième de la phase régulière (17 victoires, 7 défaites), Chaumont a confirmé la solidité de son projet sportif. Une équipe structurée et rigoureuse, emmenée par Silvano Prandi. Entouré de son fidèle staff : Iban Perez (adjoint), Radoslav Spasov (préparateur physique), Martin Stetka (scoutman) et Jiri Cerha (manager général), le club rempile pour une nouvelle saison avec le même objectif, viser plus haut.

Une intersaison de grands changements

Les départs ont été nombreux (10 au total) : Lukas Maase, Sebastian Closter, Mathis Henno, Joseph Worsley ou encore Cheikh Diop ont quitté la Haute-Marne. Des figures marquantes, notamment Joseph Worsley, élu meilleur passeur et MVP de la dernière saison, symbole du jeu créatif et explosif de Chaumont. Mais comme souvent, le club a su rebondir avec discernement. Côté arrivées, le CVB 52 s’est offert une revue d’effectif internationale. Brett Walsh apportera son expérience et sa vision du jeu, tandis que le jeune Sergiusz Serafin viendra compléter la distribution. Le secteur offensif s’étoffe avec Joshua Marty, Alexandros Raptis, Danny Poda et Rok Bračko, un quatuor capable de varier les profils et de dynamiser l’attaque. Le bloc défensif, toujours point fort du club, se renouvelle lui aussi avec trois recrues au centre : J. Cole Meier, Alex Saaremaa et Twan Wiltenburg, un trio complémentaire entre puissance, taille et lecture du jeu. Enfin, Lilian Le Meur rejoint la maison chaumontaise au poste de libéro pour épauler Théo Durand, tandis que Pierre Toledo et Jacob Pasteur prolongent, incarnant la continuité et l’identité du CVB.

Une ambition intacte

Malgré cette profonde refonte, le discours reste le même : viser le podium, avec la rigueur et la discipline qui font la marque de fabrique chaumontaise. Dans une ligue où chaque week-end s’apparente à une bataille, le CVB 52 veut faire de cette transition une opportunité pour se réinventer, sans renier son ADN. La saison s’annonce dense et prometteuse. Premier rendez-vous le 21 octobre, à domicile, face au Plessis-Robinson.

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