Volley : Le Stade Français Paris St-Cloud reste en vie

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Grâce à sa victoire contre Chamalières (3-0), le club parisien de Paris St-Cloud se rapproche un peu plus de la 8e place, synonyme de qualification en playoffs.

C’est une victoire qui fait du bien. Le club de la capitale est sur courant alternatif depuis le début de la saison de Ligue AF. Capables de très bonnes choses, les joueuses parisiennes peuvent également passer à côté d’une rencontre, comme ce fut le cas il y a une semaine et une cinglante défaite 3 sets à zéro contre Nantes.

Un match maitrisé

Quelques jours après la violente déconvenue subie à Nantes, le Stade Français Paris St-Cloud recevait Chamalières, 12ème de Ligue A féminine. Une réaction était attendue, et les supporters et supportrices présents au stade Géo Andre n’ont pas été déçus. Les Mariannes ont fait preuve de caractère. Menées à chaque fois en début de set, elles ont toujours réussi à repasser devant pour finalement s’imposer 3 sets à zéro contre de valeureuses auvergnates. Pour cela, Paris a largement pu compter sur deux recrues : l’argentine Elina Rodriguez et la française Julie Oliveira Souza. Les deux joueuses ont terminé avec 15 points chacune, permettant à leur équipe de remporter une 7ème victoire depuis le début de la saison. Les Mariannes sont désormais 9èmes et se rapprochent un peu plus des playoffs.

La nécessité de retrouver de la constance

Malgré cette belle victoire, le club parisien va devoir corriger un problème de constance qui dure depuis le début de saison. En effet, les joueuses d’Olivier Lardier sont capables de s’incliner très lourdement contre Nancy, seulement 10ème du championnat, tout comme s’imposer contre Cannes, club mythique aux 21 titres de championnes de France. C’est donc bien la preuve que les Mariannes sont capables de jouer le haut de tableau, encore faut-il qu’elles arrivent à tenir le rythme et enchainer quelques bons résultats. Prochaine rencontre pour le Stade Français Paris St-Cloud, ce mardi 25 janvier en Coupe de France, contre le même adversaire que le week-end dernier : Chamalières.

Jules Mermier