Savate : Les Chevaliers règnent à Nice

Basé à Nice, le club des Chevaliers Savate Boxe Française dispose des labels Jeune et Savate pour tous décernés par la Fédération Française de Savate boxe française et disciplines associées. Le symbole d’une approche ludique de la discipline.

Des chevaliers et un ring en guise de table ronde. Du côté de Nice, les chevaliers des temps moderne pratiquent la Savate boxe française grâce à un club particulièrement dynamique, l’un des plus importants du département des Alpes-Maritimes avec un peu plus de 100 licenciés. Un club qui bénéficie de l’expérience de Louis Porruncini, dans le monde de la Savate depuis plus de 35 ans. Avec son équipe, il développe depuis plusieurs années un accès à la discipline pour tous. Les Chevaliers Savate Boxe Française comptent ainsi plus de 45% de féminines dans leurs rangs. Destiné à s’ouvrir au plus grand nombre, le club accueille également les personnes en situation de handicap avec une pratique adaptée de la Savate… mais pas seulement, car les Chevaliers proposent également de la Savate Défense et de la Canne de combat, sans oublier la Savate Forme, le Cross training et de la boxe anglaise.
 

 
Les Chevaliers Savate Boxe Française disposent aujourd’hui de deux labels décernés par la fédération : le label or Savate pour tous et le label argent Jeune. Cette dernière distinction témoigne d’une politique sportive attractive pour les plus jeunes. Le club niçois a ainsi notamment participé au dispositif Carte Passerelle, mis en place par le CNOSF, à l’automne dernier. Les Chevaliers proposent des cours aux enfants de moins de 10 ans et a même lancé le concept « Savate Family ». Grâce à ce concept, les parents et les enfants pratiquent une activité commune et s’encouragent mutuellement. Touché, comme les autres clubs français, par la période de crise sanitaire, le club niçois a même mis en place un système de cours Zoom afin de continuer à proposer du contenu à ses licenciés. Des Chevaliers qui ne lâchent pas les leurs et qui sont désormais focalisés sur la reprise en présentiel dans les semaines à venir.

Olivier Navarranne