Rugby : Perpignan en sursis, le Stade Français sauvé !

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Cette dernière journée de Top 14 a livré son verdict, aussi bien pour les missions maintien que le tableau de la phase finale. Le point sur les gagnants et les perdants.

Quel finish ! Ce samedi 7 juin, la dernière journée du Top 14 réservait d’ultimes rebondissements. Aussi bien dans la course à la phase finale que dans la lutte pour le maintien, il y avait encore du suspens. On fait le point sur cette 26e et dernière journée dans l’élite du rugby français, avec des gagnants et des perdants…

L’UBB en demie, Bayonne de retour  

En haut du tableau, seule la première place était déjà jouée. Le Stade Toulousain régnait tranquillement sur son trône, mais attendait son dauphin. Ce sera l’Union Bordeaux-Bègles, large vainqueur de Vannes (59-28). Une deuxième place synonyme de qualification directe pour les demi-finales…un sésame chipé au nez et à la barbe des Toulonnais. Battu à Bayonne, le RC Toulon passera par un barrage, face à Castres. Avec cette dernière victoire (18-10), l’Aviron Bayonnais prend la 4e place et retrouve la phase finale, 33 ans après !

La Rochelle sur la touche, Clermont se sauve

Septièmes et premier non-qualifié avant cette dernière, l’ASM Clermont s’en sort par un trou de souri ! Les Jaunards s’en sortent grâce à leur victoire sur l’herbe de Montpellier (10-23), combine à la défaite de La Rochelle. Battu à Pau (32-18), les Maritimes disent adieu à la phase finale sur le fil. En revanche, ça passe pour Castres, malgré la défaite au Stade Français (21-10)

Mission maintien accomplie pour le Stade Français, fini pour Vannes

Justement, le Stade Français sort le grand jeu pour cette dernière journée et valide son maintien ! Les Parisiens accrochent cette 12e place malgré la belle victoire de Perpignan. Pour cette dernière journée, l’USAP a battu le leader toulousain à la maison, mais devra passer par un barrage. Ce sera face à Grenoble, finaliste de Pro D2. Enfin, l’aventure Top 14 s’achève pour Vannes. L’exploit face à l’UBB n’aura pas eu lieu, et les Bretons retournent déjà à l’étage inférieur, un an après.

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