Rugby : La Bretagne vibre au rythme du Tournoi International de Cornouaille

Rugby Club Quimpérois

Ces 30 et 31 mars, 14 équipes disputeront la 19e édition du Tournoi International de Cornouaille au stade Créac’h Gwen à Quimper. 

C’est l’un des événements phares du Rugby Club Quimpérois et le seul tournoi pour les catégories cadets et cadettes dans l’ouest de la France. Le Tournoi International de Cornouaille fait son retour ces 30 et 31 mars au stade Créac’h Gwen à Quimper. “On donne l’opportunité à des jeunes de ces catégories d’âges de se rencontrer et en même temps on promeut le rugby et le club local”, indique Jean-Hervé Lacroix, membre du comité d’organisation. 

Le samedi est réservé aux matchs de qualification. Sur la base de poules de huit équipes, chacune d’entre elles joue quatre matchs de 20 minutes. Dans le tournoi féminin, les poules sont constituées de trois équipes et les matchs dureront 30 minutes. Le lendemain, de nouvelles poules seront créées en fonction des résultats pour laisser place aux phases finales. 

Qui pour l’emporter ? 

Dans cette 19e édition, 14 équipes sont en compétition. 10 sont masculines : Sud 29 Rugby, RUPL, RC Paris-Neuilly, Rugby Vlaanderen (sélection flamande), LBFR (Ligue Belge Francophone de Rugby), COC Rugby, Grandchamp Vannes, Launceston RFC, Rugby Côtes-d’Armor et RC Plabennec, et quatre sont féminines : CD29/CD22, RC FPDB, Powergirls (sélection belge) et Plabennec Morlaix. “Certaines viennent de très loin, d’autres participent depuis de nombreuses années, ce qui prouve l’intérêt et la reconnaissance du tournoi”, souligne Jean-Hervé Lacroix. 

Chez les garçons, la Ligue Belge Francophone de Rugby a remporté les trois dernières éditions du Tournoi (2019, 2022 et 2023) et fait figure de grande favorite. L’équipe locale, Sud 29 Rugby, compte bien performer à domicile et surprendre les Flamands de Rugby Vlaanderen et les Anglais de Launceston. “On souhaite aller le plus loin possible dans la compétition et, si possible, le remporter et inscrire son nom sur le bouclier”, espère l’organisateur. Du côté des filles, la sélection belge des Powergirls, vainqueure l’an passé, “est clairement au-dessus du lot”.