Paris 2024 lance le challenge « Go for 30 » à ses partenaires

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Pour inciter les entreprises à donner une plus grande place au sport, Paris 2024 a décidé de lancer un défi à ses partenaires. Le lancement s’est fait lundi, au siège d’Allianz, à Paris.

Le siège d’Allianz était le théâtre du lancement de l’opération « Go for 30 », lundi 26 septembre dans la capitale. Paris 2024 a souhaité lancer un défi à l’ensemble de ses partenaires, afin de mettre en lumière le sport en entreprise et de permettre aux collaborateurs de pratiquer une activité physique régulière. L’objectif : installer les 30 minutes d’activité physique par jour chez tous les partenaires jusqu’aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Lundi, Paris 2024 a également présenté son Guide du Design Actif en entreprise pour offrir à ses partenaires des solutions d’activité physique clés en main.

« Être à l’écoute des collaborateurs »

Le collectif pour une France en Forme, réfléchit, au côté de Paris 2024, à tout ce programme héritage et amène une expertise avec son équipe d’experts. Philippe Lamblin, membre de ce collectif, explique : « Je ne suis pas Parisien, je prends le métro en moyenne trois fois par semaine, et tous les escaliers sont vides. Que fait-on pour inciter les gens à prendre les escaliers ? On est en train de réfléchir, avec Marie [Barsacq, Directrice Impact & Héritage de Paris 2024] et les producteurs de pommes, si on ne peut pas organiser quelque chose. Que ceux qui empruntent les escaliers aient une pomme en haut. En faisant ça, ils vont venir ! On a aussi lancé l’opération « Du stade vers l’emploi », qui a été reprise par le ministère. En Guyane, ça a eu un réel succès, le préfet m’a dit qu’on allait le refaire en 2023 et en 2024. Le programme Héritage est quasiment la chose la plus importante de ces Jeux. Evidemment, il faut des médailles, mais si on est capable, en 2024, d’avoir une France plus en forme (mieux vieillir, moins à l’hôpital, avec moins de médicaments), alors on aura gagné. Et pratiquer le sport en entreprise est essentiel. Il faut être à l’écoute des collaborateurs, et je suis persuadé que ça va marcher. »