Lutte : Le Wrestling Training a la cote

La Fédération Française de Lutte ré-organise son offre de formation santé avec une nouveauté, la formation à distance autour de la pratique du Wrestling Training.

 
La prochaine rentrée s’annonce bien particulière pour l’ensemble des fédérations sportives. La Fédération Française de Lutte se prépare déjà pour ce rendez-vous. Elle ré-organise notamment son offre de formation santé avec une nouveauté, la formation à distance. Ici, le but est de pouvoir programmer de nouvelles séances dans les clubs pour attirer de nouveaux publics pour la pratique du Wrestling, sous trois formes : Training (programme de force), Cardio (programme cardio) et Flex (programme de mobilité/souplesse).
 
Le Wrestling Training, une pratique développée depuis plusieurs années et qui rencontre un succès croissant. « Il s’agit d’un programme de préparation physique général qui permet de développer la force, la mobilité, la flexibilité ou encore l’endurance cardio-vasculaire », explique Thomas Cerboneschi, créateur et responsable du Wrestling Training pour Planet Fitness et la FFLutte. Une discipline qui se pratique avec des objets comme un Slam Ball et un Kettlebell et qui permet de travailler ainsi plusieurs des aspects évoqués plus haut.
 

 
Le Wrestling Training n’est donc absolument pas de la lutte, mais il est cependant très utile pour les lutteurs concernant leur entraînement et leur préparation physique. « Les athlètes sont nombreux à se blesser dans les disciplines de sports de combats. Ce sont des disciplines traumatisantes où les sportifs ont tendance à trop en faire », confie Thomas Cerboneschi. « Au lieu de travailler sur la quantité, il faudrait travailler sur la qualité et le Wrestling Training peut être utile pour y parvenir. Lors des formations, on apprend notamment à respirer correctement ou encore à retrouver la mobilité dans le thoracique. C’est une discipline très utile pour la durabilité de l’athlète. »
 
 
Plus d’informations sur www.fflutte.com/nouvelle-offre-de-formation-wrestling-sante/
 

Propos recueillis par Olivier Navarranne