Lors de l’Assemblée générale du Comité national olympique et sportif français ce lundi, Amélie Oudéa-Castéra a présenté sa vision d’avenir pour le CNOSF.
« Un CNOSF fort, utile et moderne » : c’est la promesse d’Amélie Oudéa-Castéra, deux jours seulement après une Fête du Sport qui a permis au Comité national olympique et sportif français de faire passer un message fort sur l’importance de défendre le sport français. Ce lundi, la présidente du CNOSF présentait la nouvelle gouvernance et le programme politique 2025-2029 de ce Comité national olympique et sportif français.
Le programme politique 2025-2029 du CNOSF s’appuiera ainsi sur les piliers suivants : réussir l’héritage de Paris 2024, un CNOSF fort, utile et moderne, et être au rendez-vous des Alpes Françaises 2030. Pour accompagner le déploiement de ce programme politique, le CNOSF s’appuiera sur 17 commissions, 2 conseils et 7 groupes de travail. Avec 43% de femmes parmi les (co)présidents et (co)pilotes.
Un plaidoyer du mouvement sportif pour les Municipales 2026
Un CNOSF fort, c’est la mise en place d’une convention citoyenne sur les temps de l’enfant, d’un plaidoyer du mouvement sportif pour les Municipales 2026, d’un séminaire des territoires, d’un fonds d’urgence clubs, et d’un Conseil des jeunes 2.0.
Amélie Oudéa-Castéra a également défendu l’idée d’un CNOSF utile, un CNOSF au service de ses membres, dans toute leur diversité. Le Comité national olympique et sportif français entend ainsi faciliter les échanges et collaborations, la mise en place d’un Conseil juridique sur les sujets transverses sensibles, un meilleur accompagnement sur la lutte contre les violences sexuelles, un renforcement du statut du dirigeant associatif, un soutien au bénévolat et une mutualisation de certains services.
« Un CNOSF fort, utile et moderne »
La présidente du CNOSF a achevé son propos en présentant sa vision d’avenir : celle d’un CNOSF moderne. Parmi les axes forts : la modernisation des modèles économiques, la féminisation de l’emploi sportif, l’engagement pour la santé mentale des athlètes, un plan d’action d’inclusion sociale par le sport, ou encore l’adaptation des engagements sur l’écoresponsabilité.